Anecdotes


  • Dans le clip « Celle qui t’aimait », réalisé par Bruno Jumiler, on reconnaît les trois fils de Capdevielle. Le bébé du clip n’est autre que le cousin de Vanessa Paradis !
  • En 1988, Capdevielle a participé à une chanson collective intitulée « Liban » avec plusieurs chanteurs ou groupes dont Gold, Yves Duteil, Adamo, Gilbert Montagné, Didier Barbelivien, Gérard Lenorman, François Valery, Jeanne Mas, etc…
  • D’après l’astrologie chinoise, le signe astral de Jean-Patrick Capdevielle est : Coq bois/Sagittaire.
  •  Un procès a opposé Jean-Patrick Capdevielle et Pendragon records à Miles Copeland et Warner Brothers au sujet de la musique du film « Red Planet ». L’affaire portée devant la Cour Supérieure de Los Angeles par Capdevielle porte le numéro BC 239697.
  •  Le fils aîné de Jean-Patrick Capdevielle fait de la compétition automobile. « Ma famille est devenue quelque chose de capital dans ma vie. J’ai longtemps refusé d’être père. Je pensais qu’un père était forcément un personnage bourgeois, raisonnable, responsable… Et puis j’ai fini par trouver ma place : je suis un père irrégulier, mais extrêmement enthousiaste et chauvin », admet JPC lorsqu’il évoque ses enfants.
  •  L’un des beaux moments de l’émission « Taratata » (no 86) animée par Nagui fut le duo Capdevielle/Thiefaine interprétant « Don’t think twice it’s alright ». Au cours de l’émission tournée le 10 avril 1995 et diffusée le 21 avril, Capdevielle interpréta en solo : « Politiquement correct. » (cf. site Taratata).
  •  Dans deux de ses chansons, Renaud cite Jean-Patrick Capdevielle. « Capde » est recensé au nombre des personnages appartenant àl’univers de Renaud, sur un site consacré àce dernier.
  • Comment est né l’album « Carmine Meo » ?
    (extrait d’une interview d’Emma Shapplin) :
    •   » Emma, votre carrière ne s’est pas faite toute seule. Votre premier disque a été un travail de longue haleine ?
    •  J’ai rencontré Capdevielle à 18 et il m’a donné le courage nécessaire. C’est la première personne qui m’encourageait et qui me poussait. J’ai suivi son conseil, j’ai travaillé avec acharnement. Puis, je ne l’ai plus vu durant quatre ans. Pendant ces années, j’ai suivi des cours de chant classique à gauche et à droite, un peu de technique par ici et par là dans différents conservatoires de musique. Au bout de ces quatre ans, je me suis retrouvée dans une soirée, alors que je ne sortais jamais le soir, et il était là. Il m’a demandé ce que je devenais. Alors, je lui ai chanté ce que j’avais appris, c’est-à-dire quelques airs anciens comme ceux que toutes les jeunes sopranos qui commencent, travaillent et il m’a dit, mi-figue, mi-raisin : « Que puis-je faire pour t’aider ? » Je lui ai répondu du tic au tac : « Ecris-moi un album. » Et c’est parti comme ça.
    •  L’écriture du disque ! Vous lui avez demandé de vous composer des chansons en italien du XIVe siècle ?
    •  Tout ça a mis au moins un an et demi à se construire. J’ai commencé par essayer de chanter certaines de ses chansons avec une voix plus pop. Ca ne collait pas, ce n’était pas pour moi. On a essayé autre chose : pendant que je faisais des vocalises, il m’accompagnait à la guitare. Ca ne collait pas non plus. Au bout d’un moment, il m’a dit :  » Bon, tu chantes comme ça, pas de problème ; c’est ta façon de chanter, tu chanteras comme une sorte de crin, faits exprès pour ton timbre de voix et pour que tu puisses te sentir à l’aise dans ton univers. « On a commencé à écrire en jetant sur papier les passions qui m’animaient. Et pour chacune de mes passions, il a choisi un instrument. C’est comme ça que d’un élément àl’autre, le disque s’est construit. Une fois tous les instruments trouvés, il a commencé a composé la musique…
    •  Mais le choix des paroles ? Vous vous êtes énormément investie dans ce disque ?
    •  Complètement, oui. Le travail a été une étroite collaboration entre lui et moi. Il y a énormément de choses dans mon album, énormément de sons, en fait tous les sons, énormément d’influences aussi. Je vous ai dit que j’adore l’opéra. Je voulais qu’on sente l’atmosphère de l’opéra, très fort et plus particulièrement de l’opéra du XIXe siècle, celui de Puccini, Bellini, Verdi. Pour cette raison, on a choisi les violons, on a choisi des cordes pour exprimer cette vague de romantisme justement. J’adore la tragédie aussi. Donc on a choisi des mots, des paroles qui expriment le tragique. Chaque chanson est un peu le point culminant de la tragédie au moment où l’héroïne se trouve seule face à son destin avec son cheminement dans sa tête, dans son cœur et dans son âme. Tout ça passe par les mots. »